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L’Occitanie bénéficie d’un dynamisme démographique envié -47 400 nouveaux arrivants par an en moyenne depuis 2007- et, avec 8,3% du revenu fiscal de France métropolitaine, elle occupe la quatrième place dans la hiérarchie des régions de France métropolitaine. L’Observatoire Économique de la CCI Occitanie (OBSéco) s’est intéressé à l’incidence qu’ont ces deux facteurs en termes de consommation des ménages.
L‘échantillon étudié pour la réalisation de cette enquête réalisée en 2019 par les CCI d’Occitanie avec le cabinet AID Observatoire et qui permet de savoir qui achète quoi, où et comment.
Le nombre d’actes d’achats étudiés qui constituent une base de données unique de l’Occitanie sur un panel de 37 produits de consommation courante dont 11 produits alimentaires et 26 produits non-alimentaires.
Le montant global des dépenses de consommation des ménages en Occitanie en 2020. Soit un montant annuel de 12 138 € par ménage. La répartition entre les principales familles de produits est de 51% pour l’alimentaire, 17% pour l’équipement de la personne et 14% pour l’équipement du foyer.
La part des achats, toutes catégories confondues, réalisés dans les grandes surfaces.
21% des achats se font quant à eux dans des commerces de moins de 300 m2 et 4% pour les marchés, halles et la vente directe. Des chiffres qui, tant pour les dépenses alimentaires que non-alimentaires, sont similaires à la moyenne nationale.
Ce taux désigne les dépenses qui sont réalisées en dehors du territoire (vente à distance et e-commerce, achats à l’étranger et achats effectués dans les départements limitrophes). 10% de cette évasion intervient à l’étranger et dans des départements limitrophes. Ce taux d’évasion est incompressible en alimentaire (2%) et en non alimentaire (15%).
Cette estimation du chiffre d’affaires a été réalisée en se basant sur l’exploitation des destinations de consommation collectées auprès des ménages résidants et sur les 37 produits étudiés. Le chiffre d’affaires estimé est donc lié uniquement à la dépense des ménages locaux et ne tient pas compte éventuellement des apports générés par les clientèles touristiques et professionnelles.